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Top 15 des différences majeures entre le porno et la vraie vie

La gaudriole c’est cool, et, on est bien d’accord, la gaudriole dans les pornos aussi. Mais histoire de pas se créer des complexes sur quinze générations, ou de tenter n’importe quoi lors de votre prochaine séance de zigzig, ce serait pas mal de faire le point sur la dif entre du cul normal et celui à l’écran, si vous voulez bien.

1. Le lubrifiant

Qui tout simplement N’EXISTE PAS dans le porno. Les mecs ont des zboubs taille maxi, font l’impasse sur les prélos, et tentent la sodomie une vidéo sur deux. Dans le meilleur des cas, il y a crachat (ce qui dépanne toujours, avouons-le), mais il doit bien y avoir un tube quelque part dans le studio sinon ma compassion pour les personnes pénétrées.

2. Les préliminaires

Statistiquement, on part sur une vraie inversion en terme de temps consacré aux prélos et à l’acte de zigzig lui-même. Tout le monde n’est pas toujours prêt à se faire secouer une demi-heure dans toutes les positions possibles après seulement cinq minutes de touche-pipou. Ça peut même être hyper désagréable, donc on se relaxe et on prend le temps de bien faire les choses.

3. La communication

Dans 90% des scénarios, les protagonistes viennent à peine de se rencontrer qu’ils forniquent déjà, et pas à un seul moment y’en a un qui se préoccupe du bien-être de l’autre. À part si on compte le gars qui s’exécute quand la meuf hurle oh yeaah fuck my pussy. Mais si personne n’échange un minimum, comment on peut être sûr.e que 1) l’autre kiffe ce qu’on fait 2) l’autre va faire ce qu’on kiffe ? Hein ? Bah c’est impossible. CQFD.

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4. La durée des rapports

Askip l’idéal serait de 7 à 13 minutes de pénétration, après tout le monde s’essouffle et c’est relou. Rien ne vous interdit de faire plus hein, nous on dit ça surtout pour vous rassurer, rapport au fait que dans les porno c’est quand même un délire en mode ça ne s’arrête JAMAIS. Et la meuf, du début à la fin, elle fait genre elle est au climax mais ça va bien hein faut pas nous prendre pour des jambons.

5. Le nombre de positions

Qu’on se le dise ils en enchaînent quand même un max pour une seule et même séance de taktak. On dirait qu’ils ont chorégraphié le truc en mode « Et un, deux, trois, on change ! Levrette ! Amazone ! Brouette ! ». Alors que dans la vraie vie, quand ça se passe façon Je vais te décliner tout le Kamasutra en 15 minutes, c’est relou. Si c’était déjà top au départ, pourquoi changer une affaire qui roule ?

6. La nature des positions

Il faut savoir que le porno a inventé des positions pour qu’on voie bien les zgegs en pleine action. Parce qu’il paraîtrait que le missionnaire, c’est pas sexy à l’écran (pourtant c’est cool). Genre vous voyez Victoria Beckham là en dessous ? bon bah elle s’apprête pas du tout à faire taktak mais c’est une de ces positions-là dont on parle (imaginez un mec derrière bon dieu).

Ouais genre pas pratique quoi.

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7. L’éjaculation

Tout pareil que pour les positions, le truc de Et vas-y que je me retire exprès pour te balancer ma semence dessus, ça vient du porno. Le but étant que tout le monde visualise bien que oui, le mec a kiffé, y’a pas eu triche (et que ça serve de top départ à vous, je ne sais pas). Et c’est pour ça que c’est systématique. Pas d’inquiétude donc si c’est pas votre délire.

8. La vie sexuelle des meufs bi

Le problème du porno ici c’est que ce tag rime forcément avec plan à trois, soit deux meufs qui se chauffent en petite culotte avant de se jeter conjointement sur le mec qui se papouillait la nouille en arrière-plan. Alors que bon dans la vraie vie c’est moins l’éclate déso, ça se joue la plupart du temps au un par un et chacun son tour, merci bien.

9. Les poils

Tellement tout est lisse là-bas on pourrait croire que les acteurs et actrices pornos passent l’intégralité de leur temps libre à s’épiler scrupuleusement. Dans la vraie vie, celle où on a du taf, des responsabilités, et une flemme somme toute légitime, quand y’a pas le time, y’a pas le time. Et on ne va quand même pas s’empêcher de niquer pour si peu.

10. Les capotes (alors là on rigole plus les copains)

Certaines productions douteuses mettent en danger la santé de leurs acteurs et actrices sous prétexte que faire gaffe à ne pas choper le Das, c’est pas vendeur. Déjà, on aimerait bien que YouPorn démocratise un tag cul équitable où on pourrait être sûr que les gens sur le plateau sont majeurs, protégés et contents d’être là. Ensuite on espère bien que vous, quand vous fricotez avec votre plombier, vous sortez le matos (j’entends par là une ribambelle de capotes). Parce que la vie est trop courte pour se taper la chlamydia.

11. La dilatation (ou le fond du n’importe quoi du porno)

On parle des gros plans victorieux des parties génitales de la meuf ou du mec qui visiblement a tellement pris cher qu’il s’y est créé un genre de Vortex. On sait pas comment ces gens se sont démerdés mais enfin, Non, ça n’arrive pas dans la vraie vie. En tout cas si tu te restreins à des zboubs humains et des sextoys de taille comparable. Allez, t’en fais donc pas pour ta tuyauterie interne et file donc t’amuser.

Source : Topito