Si l’on savait déjà qu’il existe au moins sept formes (pas forcément géométriques) de poitrines, on était loin d’imaginer qu’il y avait presque autant de type de tétons.
n mars dernier, GQ vous aidait à réviser vos connaissances en matière de poitrine(s). Et vous dévoilait, en dessins, le « dictionnaire des formes de sein » de la marque de lingerie ThirdLove. Leçon du jour : le téton, ou plutôt les 8 types de tétons référencés par le Dr. Tsippora Shainhouse et repérés par le site Seventeen. À noter que tous sont normaux et qu’il est possible de combiner plusieurs sortes à la fois.
« Protruding » (comprenez « protubérant »)
Dressés quelques millimètres au-dessus de la surface de l’aréole (la zone de peau circulaire pigmentée autour du mamelon), ceux-là pointent vers l’extérieur. Quand il fait froid ou qu’ils sont stimulés, ils durcissent et sont plus prononcés.
« Flat » (comprenez « plat »)
Les tétons plats se fondent dans le décor autrement dit dans l’aréole. Bonne nouvelle, là encore le froid et la stimulation devraient rapidement résoudre ce problème (si tant est qu’il en soit un).
« Puffy » (comprenez « bouffi »)
Le téton et toute la surface qui l’entoure réunis ressemblent à un petit tas dressé au sommet du sein. Vous voyez ?
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« Inverted » (comprenez « inversé »)
Dans ce cas de figure, le téton se rétracte vers l’intérieur du sein. Essayez de le sortir de là avec vos doigts. Doucement, par contre.
« Unilateral inverted » (comprenez « inversé unilatéralement »)
Un téton est dressé, l’autre rentre vers l’intérieur. Retenez que si ça a toujours été le cas, il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Si c’est nouveau, en revanche, il peut s’agir d’un cancer du sein. Il vaut mieux consulter.
« Bumpy » (comprenez « cahoteux »)
Il est courant d’avoir des bosses autour du téton. Surnommées les « Montgomery glands », ces bosses ressemblent parfois à des boutons.
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« Hairy » (comprenez « poilu »)
Inutile d’expliquer davantage. Certaines personnes sont plus poilues que d’autres, c’est un fait. On vous conseille la pince à épiler.
« Supernumerary » (comprenez « surnuméraire », en surnombre)
Ou l’application parfaite de « jamais deux sans trois ». Il parait que même Harry Styles est touché.
