Vous n’avez pas à dire à votre blonde comment se laver. Par contre, si elle est une adepte des douches vaginales, elle serait peut-être contente d’apprendre que cette pratique peut potentiellement lui faire attraper le cancer.
Selon une étude de l’université du Texas portant sur 1 271 femmes âgées de 20 à 49 ans, le fait de s’asperger de l’eau ou des fluides dans le vagin dans le but de supprimer des odeurs indésirables augmente les risques de développer le virus du papillome humain. Or, les femmes atteintes de ce virus ont deux fois de risques de recevoir un diagnostic de cancer des ovaires.
Mais pourquoi est-ce si dangereux? Selon les médecins, les vagins s’autonettoient seul, ce qui veut dire qu’ils n’ont pas besoin d’une source externe, comme d’autres parties du corps.
À l’intérieur du vagin, on retrouve une grande concentration de bactéries. Y projeter des fluides bouleverse cet équilibre, chasse les bonnes bactéries du vagin et peut mener à la croissance anormale de tissus. À court terme, une femme peut développer des infections ou de l’inflammation.
Le cancer des ovaires est pernicieux, car quand les premiers symptômes se manifestent, il est, contrairement à d’autres formes de cancer, déjà à un stade avancé.
Morale de l’histoire : les douches vaginales chassent peut-être les odeurs, mais elles peuvent amener à des problèmes beaucoup plus graves que des parties intimes qui ne sentent pas la rose!
Source: affairesdegars.com